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ville de vanves - Page 975

  • LA TROUPE SCOUTS D’EUROPE DE VANVES : 26 LOUVETEAUX APPRENNENT PAR LE JEU A DEVENIR DES HOMMES

    Le scoutisme est présent à Vanves grâce à une troupe de 24 louveteaux des Scouts d’Europe animée par une maîtrise composée de Frédéric Néouze, Alexis et Jean Bernier qui cherche à recruter un quatrième pour encadrer ses jeunes de 8 à 12 ans  afin de constituer 4 sizaines

    Auprès de ses 8/12 ans, ils développent une pédagogie dérivée, basée sur l’imaginaire du livre de la jungle, de Rudyart Kliping,  de manière à ce que les enfants puissent se référer à un modèle, un exemple à suivre. « Tout tourne autour de cet imaginaire. On les appelle les louveteaux, avec un chef, Akela, vieux loup, Bagheera la panthère noire, et Balou l’ours. A chaque fois, nous racontons une histoire avec des jeux. Tout est tourné autour de la pédagogie, le but est de faire grandir ses enfants. Ce n’est pas uniquement un centre aéré. On est là pour qu’ils deviennent des hommes » explique Frédéric Neouze,chef de l’Unité, c'est-à-dire  responsable de la Maîtrise et de la troupe en rappelant que « Les Scouts d’Europe est un mouvement qui a été fondé au milieu des années 1950 après guerre, par des hommes  qui étaient persuadés que la paix en Europe passeraient par l’union des peuples. Ce mouvement qui se réclame de la pédagogie de Badin Powell  est présent dans 15 pays et a été lancé en France par le pére Sevin, Jésuite dont Badin Powell disait que « c’est celui qui a le mieux compris ce que je voulais faire ! ». Nous sommes toujours dans cette filiation là ».

    Les cinq buts du scoutisme sont le sens concret, le sens des autres, le sens de Dieu, la santé et le développement du caractère. « Nous travaillons là-dessus, avec bien sûr la vie et la nature. Nous sommes très souvent dehors et le but est que les louveteaux puissent se dépenser grâce à des choses qui sont adapté sà leur âge, avec une pédagogie qui est d’apprendre par le jeu » explique t-il lors d’une sortie dans le parc F.Pic voilà plus d’un mois. Ce jour là, ils ont commencé par une histoire pris dans le livre de la jungle – « ceux qui ne font pas de bruit, les yeux qui voient dans l’ombre, ceux qui portent ses signes  sont mes fréres » - sur lesquels la Maitrise a fait réfléchir  les louveteaux lors d’un « Conseil Rocher » en  demandant comment ils peuvent l’appliquer. Après un échange pour savoir comment ils ont compris l’histoire, pour qu’ils donnent leurs idées sur comment le mettre en place. Et ils pris une résolution pour l’activité en disant « pendant l’activité, à tel moment, on va mettre en place « faire silence » pendant la chasse (le jeux), qui a toujours un rapport avec l’histoire,  c'est-à-dire ne pas faire de bruit plus que nécessaire » a-t-il expliqué. Le jeu consistait à retrouver Mowgli à travers différentes épreuves : Des petits ateliers pour lerur rappeler deux techniques dont le sémaphore, puis une chasse…avec  un jeu d’approche sans faire de bruit, délivrer mogwli dans un endroit sombre à partir du principe du jeu du sous marin, avec la danse de kaa  au final

    Ainsi,  chaque sortie, donne lieu à une nouvelle histoire, mais aussi un travail sur une valeur de jungle – sur le silence lors de cette sortie,  sachant que durant tout ce trimestre, ils ont travaillé sur la fraternité, en ayant commencé sur l‘accueil, puis l’unité, l’appartenance au groupe, et là le silence. « A chaque fois nous définissons un thème par activité avec une sagesse de jungle que ce soit  au parc F.Pic, au bois de Clamart…sur un rythme de quinze jours, sauf pendant les vacances scolaires, un camp étant organisé pour les grandes vacances, durant 5 jours consécutifs. C’est pour beaucoup, la première fois que les louveteaux quittent le domicile familial, et c’est parfois difficile. C’est apprendre l’autonomie qui n’est pas toujours évident, surtout pour ceux qui n’ont pas fait de colonies de vacances ou de classes de neige. 5 jours sans les parents, à dormir sous tente à faire la cuisine au feu de bois, c’est complètement dépaysant. Pour la Maîtrise, c’est très exigeant et fatiguant.   Moins d’activité, on perdrait le bénéfice du travail éducatif, et cela deviendrait du centre aéré, parce qu’il faut de la continuité »

    A suivre...

  • UN SCHEMA REGIONAL VEUT DENSIFIER ENCORE PLUS VANVES ET GPSO !

    Le second gros dossier étudié par les conseillers territoriaux de l’EPT (Etablissement Public Territorial)  GPSO (Grand Paris Seine Ouest) le  8 décembre dernier concrernait le schéma régional de l’habitat et de l’hébergement lancé par Jean Paul Huchon voilà deux ans, sur lequel les collectivités locales doivent donner leur avis, tout au moins les départements et les territoires comme GPSO

    L’EPT GPSO a émis un avis défavorable comme le conseil départemental des Hauts de Seine 92, car il est mis à contribution à hauteur d’une production de 2000 logements par an (38 000 pour les 12 EPT de la Métropole du Grand Paris ). « Le SRHH reproduit l’erreur de raisonnement du SDRIF : Il demande une densification du territoire alors que l’effort a déjà été en grande partie produit dans les Hauts de Seine, en particulier dans les communes proches de Paris et à l’occasion  de la mutation des grandes friches industrielles » constatait le conseil départemental  en comparant la densité dans  le  92 (9 062 habitants par km2) avec le 93 (6 572) et le 94 (5 526). « On veut imposer des taux de constructions impossibles avec des objectifs sans tenir compte du pourcentage d’habitants par rapport au pourcentage d’emplois, sans prendre en compte le manque de foncier »

    Il vise à l’échelle régionale un taux de 25% de logements sociaux avec un objectif de 37 000 logements sociaux en région dont  22 678 pour la MGP afin d’atteindre un taux de 30%. Les 4 EPT, dont GPSO, où le taux est inférieur à 25%,  devront particulièrement contribuer au rééquilibrage. A GPSO l’objectif de production de logements sociaux est de 1 351 par an pour atteindre  30%  en 2020. 1151 par an permet de répondre aux orientations aux orientations fixées par la MGP, 1083 au titre du rattrapage SRU. La production minimale en PLAI dans les communes assujetties au rattrapage SRU  (dont Boulogne par exemple) est de 325 logements sociaux par an, 758 pour la production minimale cumulée PLAI-PLUS. « 13521 logements sociaux neufs par an représentent 67,5% de la production totale de 2000 logements par an  attendu de GPSO. Ces objectifs quantitatifs et qualitatifs de logements sociaux  apparaissent peu réalistes et difficilement atteignables en perspective des objectifs arrêtés dans le PLH (500 logements sociaux  par an soit 25% de la production neuve totale auxquels s’ajoutent 150 logements en acquisition-amélioration dans le parc existant). Au vu de ces éléments, il existe un sérieux doute sur la capacité réelle de notre territoire à absorber de tels objectifs de logement compte tenu  de sa densité déjà élevée et donc de la rareté et de la cherté du foncier. De plus, l’application brutale de ces objectifs chiffrés, notamment en ce qui concerne le taux de 30% de logements sociaux  en stock à l’horizon 2020 induirait une augmentation massive de la production réelle, ce qui ne peut avoir que des effets négatifs sur la mixité sociale d’un territoire » indique le conseil territorial dans son avis.

    La répartition de logements  à réhabiliter (rénovation énergétique) du projet SRHH attribue à GPSO les objectifs de 300 à 400 logements privés individuels, 1700 à 2100 logements privés collectifs, 700 à 800 logements sociaux. Sachant que sur le territoire de GPSO, 22% des logements ont été construits après 1990. « Ainsi prés du quart des logements existants seraient difficilement mobilisables dans le cadre d’une politique de rénovation énergétique rendant difficile l’atteinte des objectifs du SRCAE. Par ailleurs les actions de professionnalisations dans le domaine de la rénovation énergétique apparaissent insuffisants. Trop peu d’entreprises présentent les garanties de compétence en matière énergétique auprés des particuliers malgré la promotion du label RGE 

  • UNE ETUDE DE GPSO SUR LE STATIONNEMENT PAYANT : A VANVES, LE NOMBRE DE PV EST FAIBLE

    Les conseillers territoriaux de GPSO (Grand Paris Seine Ouest) ont reçu et examiné lors du dernier Conseil territorial de 2016 ( 8 décembre 2016), les observations de la Chambre Régionale des Comptes (CRC) sur la gestion du stationnement urbain » depuis 2010. Et ce que dit ce rapport de la CRC sur Vanves, est très intéressant

    Selon ce rapport, l’instauration du stationnement payant à Vanves a permis de faire progresser le nombre de places de  4301 en 2014 soit 42,2%  de plus qu’en  2010 (+ 1276 places entre 2010 et 2015)  à l’extérieur et de 77 places de plus en parcs publics (+98,7%) qui se sont ajoutées à la centaine de places du parking du marché.  Elle est la seule commune de GPSO dans ce cas avec Sèvres. Les tarifs ont progressé de 7 à 40% depuis 2010 en partie en raison de l’instauration d’une tarification au quart d’heure en 2015, la première heure de stationnement sur voirie coûtait entre 0,70 € et 1,90 € selon les communes indique ce rapport, sachant que GPSO a recherché à harmoniser ses tarifs de stationnement sur voirie en fonction de trois bassin de vie et d’emplois homogènes : Vanves fait patie de la zone très urbanisée avec Boulogne et Issy Les Moulineaux où GPSO a décidé d’instaurer des tartifs identiques dans les zones limitrophes de Vanves et d’Issy les Moulineaux afin d’éviter les reports de stationnement. Comme c’est le cas aux abords de Paris où il est fait état de saturations récurrentes dans les rues adjacentes au parc  des expositions. 

    Selon un ratio de 250 places contrôle par ASVP, Vanves à cause de la forte augmentation de places de stationnement, est passé de  416,7 places contrôlées par ASVP  en 2010/11 à 860 par ASVP en 2014,  les tournées de contrôle étant programmées par le responsable de la police municipale. Entre 2013 et 2014, alors que l’effectif était de 4 ASVP, la commune était divisée en autant de secteur attribué par binôme qui consacrait deux jours de travail pour couvrir l’intégralité de leur secteur, toutes les rues de la commune étant supervisée une fois par semaine. Avec le passage à 6 ASVP, la commune a été redécoupé en 6 secteurs, avec une plus grande fréquence de contrôle, contrarié par un absentéisme qui s’élevait en moyenne à 12,3 journée par agent de contrôle en 2014 dans les 8 villes de GPSO : Mais 147 journées d’absences  au total ont été enregistrées en 2010, 394 en 2011, 398 en 2012, 407 en 2014 et 372 en 2014 à Vanves  où le taux est extrêmement élevé pour les 4 agents mis à disposition. Ils  étaient absents en moyenne 98,5 jours en 2011, 99,5 jours en 2012, 101,8 jours en 2013 et 93 Jours en 2014 malgré une très faible ancienneté dans l’emploi.

    Depuis la mise en place des PV électroniques, le chef de la police municipale contrôle uniquement par statistiques mensuelles et annuelle via un logiciel dédié. Ainsi le nombre de PV est passé de 13 661 en 2010 à 15 645 en 2011, 15 719 en 2012 et 19 544 en 2014, soit +43,1%, 2013 ayant connu une baise à 8 861 PV. Ce qui n’empêche pas deconstater qu’en 2014, le nombre de PV par mois est particulièrement faible à Vanves (0,66). « Cette statistique peut s’expliquer par le faible effectif de contrôle au regard du nmbre de place de stationnement payant. Pour Vanves, le taux de verbalisation a chuté de plus de 30% en 4 ans ». Malgré tout le taux de respect sur tout le territoire de GPSO est en hausse